Les quartiers, Vivre à Paris

Le quartier du Triangle d’or

Bienvenue dans la quintessence de Paris ! Ce Paris qui fait rêver, chanter, danser. Un Paris où l’on entre dans la carte postale en songeant : « c’est donc vrai ! » Les plus belles vitrines de luxe, sur les avenues Montaigne et George V ; les plus fameuses expositions, sous la verrière du Grand Palais ; la plus célèbre avenue de Paris : les Champs-Elysées ; les repas les plus mythsiques, chez Ledoyen ou Lasserre ; les soupers les plus branchés, à la Maison Blanche ou à l’Avenue ; les nuits les plus Luxueuses, au Plazza ou au Prince de Galles ; les nuits les plus folles, chez Raspoutine ; les plus grands orchestres du monde, au Théâtre des Champs Elysées ; les plus célèbres stars de cinéma, dinant au Fouquet’s ; les plus beaux voyages sur la Seine, depuis les bateaux mouches de l’Alma ; les gambettes les plus canailles, au Crazy Horse : ici, tout est superlatif. Et pourtant si parisien.

Ce quartier très cosmopolite dispose d’immeubles magnifiques, luxueux, très aérés, essentiellement édifiés entre la seconde partie du XIXe siècle et les années 30. Entre le confort haussmannien et l’élégante rigueur art-déco se niche parfois une divine surprise, comme l’immeuble signé Lalique, sur le cours Albert Premier, face à la Seine. L’Avenue Montaigne est l’une des voies les plus convoitées du monde, et les plus grandes fortunes du globe aiment y posséder ne serait-ce qu’un pied à terre. Enfin, la proximité de la Tour Eiffel la rend présente derrière presque chaque fenêtre, parachevant ce quartier qui est une somptueuse vitrine sur la « ville lumière »…

La vie du quartier :
 Point de mire des touristes amoureux du luxe, le triangle d’or est surtout un vrai quartier: allez donc boire un thé dans le patio du Petit Palais ; allez vous embrasser dans le square Jean Perrin ; allez rêver dans Notre Dame de la Consolation ; allez essayer tous les petits bistros de la Tremoille ou du Boccador : voilà des plaisirs pour initiés.

Incontournable :
 Descendre les Champs-Elysées, de l’Etoile à la Concorde, sur un vélo, à six heures du matin, en plein été, avec le sentiment que Paris vous appartient.